Le monde plus que jamais se construit par écosystèmes. Ils naissent, vivent et meurent … Le temps des grands verticaux, retails, banque/assurance, telco, manufacturing, … a volé en éclats. Si l’on veut participer au monde de demain il faut les choisir, les créer, les construire et les investir avec des partenaires de tous horizons mais qui partagent la même ambition, la même envie. Les écosystèmes s’enchevêtrent et font exploser tous les silos et organisations hiérarchiques traditionnels.
Nombreuses sont les entreprises qui résistent à cette transformation en dépensant une énergie folle à essayer de tenir le cadre fixé par l’Histoire. Mais aujourd’hui l’Histoire ne se construit plus dans des cadres mais dans des réseaux dont les potentiels exponentiels viendront à bout de tous les archaïsmes.
Cependant, si il faut se développer par écosystème, les entreprises établies sont souvent obligées, afin de gérer la transition, de continuer à exécuter par industrie. A elles donc d’être vigilantes pour que l’exécution par industrie ne pénalise pas définitivement leur potentiel. Toute minute passée à faire durer le passé ne l’est pas à créer le futur.
De plus on constate que de plus en plus souvent la transformation se fait dépasser par la disruption. Hors les experts d’un domaine, d’une industrie, ne sont généralement pas capable de proposer des disruptions. Par exemple: par exemple Kodak et a photo numérique, Einstein et la mécanique quantique ou la Nasa et les lanceurs réutilisables.
Vive donc les écosystèmes qui mélangent les industries et donc compétences.